Petit déjeuner à l’hôtel Viuna, puis nous partons pour randonner sur les montagnes (flanc de montagne opposé au village). Premières rencontres : un habitant sur son âne, un âne tout seul dans son champ et plus haut sur la montagne, un berger, ses chiens et ses moutons.
La chaleur est soutenable même si quelques degrés de moins auraient été souhaitables. Depuis que nous avons quitté le berger, nous sommes désormais seuls et isolés de tout.
Nous gravissons plusieurs sommets successifs à plus de 3 000 mètres. Cela été compliqué par certains moments, surtout la descente vers Abyaneh.
Notre périple n’a pas été très prudent, il nous serait arrivé quelque chose, il aurait été difficile d’appeler des secours.
Sur le retour, nous prenons le temps d’explorer des grottes, utilisées pour les animaux l’hiver.
Finalement, nous réussissons à rejoindre l’hôtel pour reprendre des forces avant de nous rendre à Ispahan.
L’hôtel nous appelle un taxi qui nous conduit jusqu’à Natanz. Nous avions prévu de poursuivre en transport en commun mais les bus ne circulaient pas ce jour là.
Il a fallu se rabattre sur un taxi « collectif » qui allait à Ispahan et qui a roulé à fond tout le long de la route.
Retour à Isfahan dans un Hôtel – Amir Kabir Hostel- beaucoup moins cher mais avec un confort plus spartiate. La douche et les toilettes sont à l’extérieur. L’hôtel est rempli d’étudiants de toutes les nationalités. Certains dorment dans le patio.
Cependant, l’hôtel semble bien organisé, ce qui vient compenser le manque de confort.
Nous appelons Moksen notre chauffeur-guide que nous avions à notre arrivée à Ispahan et allons découvrir les restaurants plus spécialisés sur la nourriture locale : Ash (potage consistant).
Nous terminons la soirée à la place de l’Imam toujours bondée de familles iraniennes qui pique niquent.
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